Moins rouler en voiture est une manière évidente de réduire les embouteillages. En outre, il se produit un certain effet multiplicateur : une baisse de 10 % du trafic engendre facilement une réduction de 25 % des bouchons. Le département moto de la FEBIAC a même calculé il y a quelques années que les embouteillages du matin en direction de Bruxelles se réduiraient de 40 % si 10 % des automobilistes optaient pour un deux-roues. Agir avec prudence et en connaissance de cause en matière de mobilité génère donc indéniablement un gain en matière de mobilité.